PRÉDICTION POUR L'ANNÉE 2024-
PRÉDICTION POUR L'ANNÉE 2024-
Par Bernard Bujold -
Il est traditionnel de commencer une nouvelle année avec des prédictions...
Je m'avance à en faire trois pour 2024!
Par Bernard Bujold -
Il est traditionnel de commencer une nouvelle année avec des prédictions...
Je m'avance à en faire trois pour 2024!
1. Donald J. Trump sera réélu Président des États-Unis le mardi 5 novembre 2024;
2. L'Intelligence artificielle s'installera au centre de notre vie quotidienne pour devenir totalement incontournable;
3. Le travail à domicile continuera de dominer la vie économique et les espaces à bureaux devront changer de vocation.
Il est évident que l'élection de Donald Trump, si elle se réalise, ne sera pas active avant janvier de 2025, mais l'échiquier politique prendra toute sa forme en 2024, et ce pour influencer la politique mondiale jusqu'en 2030, soit jusqu'à la fin de la présente décennie.
Selon-moi, le monde sera polarisé plus que jamais en 2024 et après. Le pouvoir sur la planète sera divisé en quatre grandes parties, chacune incontournable. On peut présumer que Vladimir Poutine sera le Président de la Russie jusqu'en 2030 et pour cette raison, la Russie et la Chine avec leurs alliés d'un bord deviendront les plus influentes; les États-Unis repliés sur eux-même formeront le deuxième pôle, tandis que l'Europe formera un troisième pôle mondial. Il restera ensuite un quatrième pôle politique, isolé des trois autres, mais significatif en puissance militaire, soit celui des pays comme l'Iran, la Corée du Nord et ses alliés. Israel devra s'accrocher à l'un des pouvoirs de la planète, car aucune survie ne sera possible en dehors des quatre pôles mondiaux.
Pour la prochaine année, en ce qui concerne le Canada, la popularité grandissante de Pierre Poilièvre ramène la possibilité à venir d’un style de gouvernance à la Stephen Harper, après l’élection d’octobre 2025, si Justin Trudeau attend à la date limite d’une élection canadienne. Rappelons qu'il est minoritaire et que sa survie dépend entièrement de l'appui du NPD.
Au Québec, François Legault n’a pas à déclencher d’élection générale avant octobre 2026, soit pas avant trois ans. Il faudra voir si les autres partis deviennent d’ici là des alternatives viables, ce qui n’est pas le cas présentement malgré la très forte baisse de popularité de Legault et la grande popularité de Paul St-Pierre Plamondon. La popularité de Plamondon est cependant trop en avance de l'élection, car les Québécois votent généralement selon le climat politique qui précède l'année avant le vote. Plamondon me fait penser à Mario Dumont en 2007 alors que les sondages le projetaient premier ministre, mais qui avait échoué, de justesse, malgré ses 41 sièges face à Jean Charest qui avait remporté 48 sièges de député. L'handicap de Plamondon, qui a une personnalité très attachante, sera la séparation du Québec, un but politique qui n' a jamais été accepté par la majorité des Québécois.
C'est évidemment à suivre, et je me trompe, parfois...
Pour le moment en ce 1er janvier, je vous souhaite à toutes et tous une bonne année 2024!
Beaucoup d’amour, et surtout le bonheur de vivre!
https://www.facebook.com/media/set/?vanity=bernard.bujold&set=a.10168515112995541
Selon-moi, le monde sera polarisé plus que jamais en 2024 et après. Le pouvoir sur la planète sera divisé en quatre grandes parties, chacune incontournable. On peut présumer que Vladimir Poutine sera le Président de la Russie jusqu'en 2030 et pour cette raison, la Russie et la Chine avec leurs alliés d'un bord deviendront les plus influentes; les États-Unis repliés sur eux-même formeront le deuxième pôle, tandis que l'Europe formera un troisième pôle mondial. Il restera ensuite un quatrième pôle politique, isolé des trois autres, mais significatif en puissance militaire, soit celui des pays comme l'Iran, la Corée du Nord et ses alliés. Israel devra s'accrocher à l'un des pouvoirs de la planète, car aucune survie ne sera possible en dehors des quatre pôles mondiaux.
Pour la prochaine année, en ce qui concerne le Canada, la popularité grandissante de Pierre Poilièvre ramène la possibilité à venir d’un style de gouvernance à la Stephen Harper, après l’élection d’octobre 2025, si Justin Trudeau attend à la date limite d’une élection canadienne. Rappelons qu'il est minoritaire et que sa survie dépend entièrement de l'appui du NPD.
Au Québec, François Legault n’a pas à déclencher d’élection générale avant octobre 2026, soit pas avant trois ans. Il faudra voir si les autres partis deviennent d’ici là des alternatives viables, ce qui n’est pas le cas présentement malgré la très forte baisse de popularité de Legault et la grande popularité de Paul St-Pierre Plamondon. La popularité de Plamondon est cependant trop en avance de l'élection, car les Québécois votent généralement selon le climat politique qui précède l'année avant le vote. Plamondon me fait penser à Mario Dumont en 2007 alors que les sondages le projetaient premier ministre, mais qui avait échoué, de justesse, malgré ses 41 sièges face à Jean Charest qui avait remporté 48 sièges de député. L'handicap de Plamondon, qui a une personnalité très attachante, sera la séparation du Québec, un but politique qui n' a jamais été accepté par la majorité des Québécois.
C'est évidemment à suivre, et je me trompe, parfois...
Pour le moment en ce 1er janvier, je vous souhaite à toutes et tous une bonne année 2024!
Beaucoup d’amour, et surtout le bonheur de vivre!
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